Alex Lutz
Catherine et Liliane beauty secrets!
parfois la vidéo de David Mallett s’active automatiquement à l’ouverture du blog. veuillez la mettre en pause avant de regarder celle ci. cheers!
En janvier dernier j’étais à Londres pour un lancement presse Saint Lolo. On riait (déjà à l’époque) dans le taxi en parlant de Catherine et Liliane. Et là l’attachée de presse me dit : » on leur file tout le makeup depuis le début! » Ni une ni deux, je prends le contact de Marie Laure, la maquilleuse d’Alex.
ça n’a pas été facile de le chopper. on s’y est pris à 3 fois pour le tournage! et puis, les règles étaient drastiques : il fallait impérativement préserver l’intégrité des personnages et ne pas filmer la transformation physique d’Alex. au début cela m’a frustrée et je pensais ne pas faire de vidéo : un beauty portrait sans visage? mouais! puis en visionnant les images et en écoutant la voix d’Alex (tour à tour en lui-même, puis en Catherine), je me suis dit que c’était tout de même vachement intéressant. et je suis finalement pas mécontente de participer à préserver tout ce mystère.
C’est toujours drôle d’être de l’autre côté de l’écran. Mais avec cette équipe là, j’étais pliée en deux non stop. parfois Alex se retournait vers moi, « nan mais ça c’est VACHEMENT IMPORTANT, faut que tu dises ça » sauf que moi je n’entendais plus rien. j’avais juste envie de lui dire « mais Alex, tu me parles avec un collant sur la tête, un teint unifié to the max, et des paquets de poudre blanche sous les yeux (c’est une vieille technique pour éviter les taches du smoky à venir), comment veux tu que je me concentre!!!!! »; arf, quelle drôle d’expérience. quand vous aurez le temps ou l’envie, nous vous avons mis l’intégralité de l’itw ci-après, car finalement, même si j’étais venue itw Alex, tout le monde se mettait à parler. donc si vous voulez en savoir d’avantage sur la difficulté à se transformer en femme (Bruno décrit son rôle pour Liliane comme génial mais très éprouvant), les aléas de l’écriture des sketchs, la rigueur et le plaisir qu’il leur faut pour composer ces personnages hilarants etc… lisez la suite!
ce soir ce sera la dernière de la saison. encore merci à toute l’équipe!!!
et n’oubliez pas : un peu de rouge sur les points saillants… mettez toutes les chances de votre côté!!! hahaha
mille bises
The Cure – Lullaby (Extended Mix)
Alex Lutz : Alors qu’est ce que tu veux savoir ?
Mai Hua : Dis moi comment tu as crée le personnage ? Visuellement je veux dire
AL : Je me suis inspiré d’une personne que je connais un peu mais surtout je voulais être dans l’esprit de ces nanas sophistiquées qui sont un peu restées bloquées sur les séries des années 80. Je crois qu’il y a eu comme ca une catégorie de bonnes femmes de moins de 60 ans qui sentent le Rive Gauche à plein nez et pour qui l’élégance ou la façon de se présenter passe un peu par de tintinabulerie avec force boucle d’oreille, force fard, force tout !
Et certaines bonnes femmes qu’on imagine surtout maquillées et surtout pas démaquillées. Du coup elles ont trouvées une manière très chouette de se maquiller dans les années 80 qui les rendait peut être même assez mignonnes et c’est resté comme ca et ce sera jusqu’à la fin de leur vie.
Donc ca, ca me faisait un peu rigoler.
Je trouvais intéressant et puis il fallait trouver aussi la manière d’avoir des vraies femmes qui puissent être existantes tout en ne tombant pas dans le panneau et ca c’est tout l’art de Marie-Laure ! Tout en ne tombant pas dans le panneau du transformisme pur.
Je ne sais pas ce que tu peux répondre à cela Marie-Laure
Marie Laure Thanneur, maquilleuse : C’est un maquillage qu’on ferait pour une femme un peu sophistiquée, il ne faut surtout pas qu’elle ressemble à un travelo quoi. Faut qu’elle soit belle et qu’on se dise « oh la la elle est belle ! »
AL : Elle fera partie de cette catégorie de bonnes femmes qui ne vont pas faire le choix du blush, du rouge à lèvres, du fard, du machin… Il y a tout !
ML : On n’est pas dans le compromis !
AL : Elle ne se dit pas « j’vais mettre un peu de rouge et le reste je fais discret » et elle ne comprend même pas qu’on puisse choisir. Le maquillage il faut que ca embellisse tout ! Donc ca part de personnages qui sont aussi sympas parce que peut être pas complétement en confiance non plus. Liliane avec son intelligence et moi avec la séduction si bien que ca fait des bonnes femmes que Sagan appelait la femme fardée (qui est une femme très discrète moins impulsive) mais on comprend cette femme sous le fard.
Et puis pour les yeux cela va être une vraie banane très classique. Enfin très classique dans ce qu’il s’est fait après 78.
ML : Le maquillage c’est Saint Laurent à mort.
AL : Et en même temps, j’ai la faiblesse de ne pas trouver cela vilain. Je ne trouve pas ca si moche.
MH : C’est carrément pas moche. C’est over too much mais c’est pas moche.
ML : C’est même pas over too much.
AL : C’est Abby Ewing. Dans les années 80, on se disait Abby Ewing elle est quand même belle ! Faut que je sois comme Abby Ewing, moi aussi je suis blonde donc je veux être comme elle. Liliane, elle se dit, je suis rousse, je suis sa meilleure copine, je vais être un peu comme elle qui ressemble à Abby Ewing.
Liliane elle part d’un peu plus loin, elle imite sa copine, et la mienne elle imite celle qui est passée à la télé
MH : Alors le teint, soyons technique !
AL : Le teint dans un ¼ d’heure elle a finit car à 11h on doit avoir fini. Non normalement c’est une heure quasiment. Il y a 3 pauses de teint, une base neutre, après Marie Laure sculpte.
ML : Une espèce de contouring, comme on dit. Mais je n’aime pas trop utiliser ca, c’est trop galvaudé. Mais tu mets de la lumière.
AL : Faut qu’il y ait du rouge, bizarrement il y a plein de rouges qui marchent bien.
MH : Comment ca ?
ML : Il faut le rosir.
AL : Il y a des roses et des rouges qui marchent bien. C’est à dire l’arcade sourcilière, malgré la banane on y ajoute une pointe de rose ou de rouge, le bout du nez. Parce que ce qu’on a remarqué avec Marie Laure, c’est que si tu fais juste des aplats de lumière classiques qui vont être des bases claires et du contouring normal, on s’est rendus compte que lorsqu’on met des petites touches de rouge ou de rose sur les parties plus saillantes, la pointe de la pommette, la pointe du nez, la pointe du menton etc… ca crée une petite ossature plus féminine, ca affine l’os en fait et ca crée de l’angle même s’il y a tout ce travail d’ombre qui est fait d’une manière normale. Je trouve ca bien foutu, ce qu’elle fait !
MH : Mais c’est aussi plus féminin car plus coloré et rosé, car c’est le contouring classique qui fait travelo non ?
ML : Oui !
AL : Le contouring classique il faut faire attention. Sous le menton, c’est vrai qu’on créer une vraie ombre nette, parce qu’on est sur une zone de lumière, comment dire….
ML : Tu dois vraiment affiner pour faire un menton un peu anguleux comme celui d’une femme. C’est vrai qu’Alex est facile à transformer car il a déjà les traits fins.
AL : Et Bruno a naturellement un regard, des grands yeux, des grandes paupières, une douceur à l’œil qui fait que tout ce qu’il y a autour du nez, des yeux, des pommettes, ca fonctionne vraiment bien. Et vu qu’il est costaud et baraqué, on peut tout de suite en faire une femme un peu ronde, un peu gironde et moi une espèce de sèche qui fera du 36 jusqu’à sa mort. Qui dira « je suis mince, je suis mince, je suis tellement mince » ! C’était sur ces deux socio-types là, une un peu sèche sur les nerfs, et l’autre plus gironde.
ML : La construction est la même sur les deux femmes.
MH : Les deux personnages sont aussi tellement différents physiquement…
AL : Alors on est partis sur deux femmes sophistiquées car il faut quand même qu’il y ait une unité et puis même si on les inscrit dans quelque chose de très réaliste, vu la structure du programme, ce sont un peu des marionnettes, des petites mascottes. Donc c’est important qu’il y ait un truc commun à nous deux. Je dirais que c’est l’œil en fait qui est assez proche. Le travail sur l’œil, la paupière.
ML : Elles ont toutes les deux, des super jolis yeux, quand tu les regardes.
AL : J’en avais parlé à Marie-Laure, mais quand elle s’est chargée de les conceptualiser d’avantage, vu ce qu’on fait comme trucs drôles (quand elles se vexent, quand elles s’énervent) le travail sur les paupières, les couleurs, rend tout cela vachement drôle ! Je te parlais des séries des années 80, quand tu vois la tronche des bonnes femmes quand elles font la gueule, ou quand elles ont un ennemi… non mais c’est vrai, Joan Collins elle n’a pas grand chose à faire quoi… elle fait un peu la tête et on se dit « oh la la, il y a un problème avec le pétrole quoi ! » Le fait qu’elles soient maquillées comme des voitures volées, je pense que ca aide vachement ! Ma grand-mère disait « ah il faut reconnaître que les femmes américaines sont belles », celle que les femmes qui jouaient au tennis dans les années 80 imitaient un peu. Elles avaient une 106 Inès de la Fressange, elles faisaient du tennis et elles agaçaient toutes les nanas du lotissement car elles étaient un peu maquillées comme Dee Dee McCall pour aller faire du tennis. Et ces bonnes femmes la sont assez inspirantes quand même ! Donc voilà comment esthétiquement elles sont fabriquées. Après elles sont évidemment bijoutées, etc.… Après, je ne sais pas si c’est parce qu’on est trop dedans, mais je crois pas qu’il y ait de mauvais gout ! Je les rencontrerais, je me dirais wow, c’est beaucoup mais il y a du gout. Alors elles vont être dans une génération qui ne va pas trouver pensable de ne pas sortir les escarpins etc.… elles vont souvent faire des espèces d’assortiments comme ca ! Elles vont mettre des vraies vestes épaulées avec des vraies tailles, donc finalement elles ont un coté quand même classique, et le coté rigolo c’est dans les accessoires où elles vont se permettre plus de trucs et je trouve ca assez parisien. C’est à dire que t’as plein de bonnes femmes, qui travaillent dans des administrations etc., qui sont des espèces de Catherine et Liliane, je trouve qu’en région parisienne, souvent tu auras le petit collier, le petit machin, la petite boucle d’oreille, parfois plus audacieux que ce que la même bonne femme osera à Angers.
Raphael Cioffi, auteur : L’effet qu’elles veulent provoquer c’est qu’elles veulent vraiment que les gens se disent « wow, putain, elles claquent ! » et pouvoir répondre « oh mais non, j’ai rien fait ! » faire genre hyper naturel alors qu’elles disent « alors ca ! je peux te dire qu’ils vont en parler toute la journée ! »
AL : Elles ne sont pas branchées comme les autres de Canal mais là dessus, bon quand même ! Et puis le fait qu’on soit entouré deux femmes qui conceptualisent, je trouve ca vachement bien, je sais pas ce que tu en penses Bruno ? Que Marie-Laure au make-up et Amandine aux costumes nous aient aidés à les créer, cela nous évite de trop les caricaturer. Nos femmes nous disent aussi ce qu’elles trouvent bien ou pas bien ! On est entourés de quelques unes qui nous disent vraiment les trucs donc ca permet de corriger le tir aussi un peu. J’ai toujours écouté ce qu’on pouvait dire pour qu’elles restent bien sur leurs rails. On parlait avec Raphael, qui est un de nos auteurs, avec Tom et tout ca, on essaie de faire toujours faire en sorte qu’elles restent celles qu’elles sont. Car on peut vite être tenté de les emmener ailleurs. Je me souviens quand on avait fait le défilé Chanel pour Mademoiselle Agnès c’était bien mais après coup, on s’est dit qu’on les avait peut être overbranchées. Donc c’est bien car on n’arrête pas de questionner le délire.
Quand Raph, dit qu’il est fan et qu’il aimerait les voir égoïstement dans des trucs, parfois on ne va pas être tout de suite d’accord, on va en parler et on va trouver la solution alternative partant peut être de son idée, qui est croisée par celle de Tom, corrigée un peu par la mienne. Parfois ils vont arriver avec des blagues très développées qu’on va resserrer au maximum sur l’essence même de la blague, parfois une toute petite va devenir plus développée car il faut qu’on crée de l’humeur.
MH : Mais vous êtes beaucoup d’auteurs, vous êtes beaucoup à débattre ?
AL : Raph et Tom qui sont les deux principaux je dirais, Illyés qui nous apporte l’accompagnement artistique sur les projets du Petit Journal et qui va être garant de plein chose sur l’actualité, sur ce qui est dans l’air du temps sur vraiment de l’actu pur et il va vraiment nous accompagner la dessus. Et Arthur Sanigou qui réalise le programme. Comme dit Raph, les aimer ou bien les connaître nous aide à travailler pour elles.
RC : Parfois quand j’écris pour Catherine et Liliane, il m’arrive de regarder 20 fois juste un mot et qu’il me fasse rire de plus en plus et me dire que j’ai vraiment une vie de merde (rires).
MH : Tu changes tes couleurs Marie-Laure ?
ML : Ah oui ! La ca fait longtemps qu’on n’a pas fait de bleu.
MH : Est ce qu’il y a un plaisir à la transformation ultime de devenir une femme quand tu es un homme ?
AL : Non ! A la transformation elle même non. Après moi ca m’intéresse, l’art du maquillage au cinéma ou au théâtre, je trouve ca super, pour des femmes ou n’importe quelle transformation. Je trouve ca techniquement génial. Quand il y des belles transformations sur l’âge, il y a des maquilleurs qui font des trucs incroyables ! J’avais fait Robespierre avec la mâchoire explosée, on m’avait fait un truc c’était incroyable ! Le temps de préparation vu que je suis impatient ca me soule mais bon… Après une fois qu’on est transformé oui, c’est un vrai plaisir mais c’est un plaisir d’acteur je dirais, car c’est une vrai compo pure et donc c’est un kiffe d’acteur. Bruno t’aurais quoi à dire, le fait de devenir Liliane ?
Bruno Sanchez : C’est intéressant après c’est dur physiquement je trouve, une fois que c’est fait c’est un plaisir. C’est toute la préparation qui est fastidieuse.
ML : Mais une fois que vous êtes grimées vous rentrez tout de suite dans le personnage, je l’ai remarqué.
BS : Mais même à jouer c’est épuisant, car comme je suis plus « bonhomme » on va dire, je dois trouver des positions dans le jeu, je dois être très cambré, faire attention à plein de chose.
AL : Ce n’est pas tellement que c’est fatigant mais ca demande beaucoup de concentration. Il y a certaines choses, si on n’est pas vigilant, c’est comme si on jouait mal au violon. Si tu n’es pas cambré sur le bassin, si tu ne serres pas tes omoplates en permanence, si ton port de tête n’est pas hyper haut, si tu ne le fais pas, elles n’existent plus.
MH : Et est ce que vous pouvez imaginez jouer d’autres femmes que Catherine et Liliane ?
AL : Oui
BS : Oui, c’est à dire qu’avec Catherine et Liliane on a passé le pas d’être une femme, mais ca me plairait de pouvoir créer une autre femme.
RC : Quel serait le rôle que tu rêverais de jouer ?
BS : Je ne sais pas, je sais que j’aimerais jouer plein de rôles différents.
AL : Je crois qu’on a une envie commune c’est de ne pas arrêter de jouer.
BS : C’est marrant que tu parles de cela, car j’ai des angoisses au sujet de ne plus pouvoir jouer. D’avoir moins de propositions…
RC : Tu sais que c’est saint ? C’est généralement une remarque que tu te fais quand ca se passe bien en fait. C’est symptomatique d’une bonne période. Tu n’as pas envie que ce que tu vis vraiment s’arrête.
BS : Mais j’ai pas un pas un rôle en tête, je veux tout jouer, j’ai envie qu’on crée d’autre persos avec Alex, d’autres binômes avec Alex et avec d’autres personnes aussi.
RC : Mais la c’est la 1ère fois, non, que vous êtes aussi longtemps dans 2 personnages ? D’habitude il y en avait plein.
AL : C’est sur qu’on a une énergie de jeu hyper complémentaire, qui est assez chouette et c’est pas toujours facile de trouver un partenaire.
RC : C’est assez dingue car quand vous partez en impro on a l’impression que vous savez ce que l’autre va dire.
BS : On n’a pas besoin de pavasser mille ans autour du personnage. On tente, on voit que ce n’est pas bien, on en discute.
AL : En revanche quand on crée des personnage Bruno et moi et ca aide beaucoup pour l’immédiateté, on leur fait dire pendant des heures n’importe quoi qui n’a aucun intérêt. C’est à dire que Catherine et Liliane on leur a fait parler de la pluie et du beau temps pendant des heures. Quand on a fait les cadres sup qui ont notamment un peu nourrit les personnages de notre film, pareil on leur a fait dire et faire, et se mettre dans des situations inintéressantes mais c’est intéressant pour l’acteur et le personnage et ce qu’on crée ensemble. Pour savoir où sont les personnages vraiment et où ils ne le sont plus.
BS : C’est rare d’avoir quelqu’un qui se connaît aussi bien, qui s’emboite aussi bien avec toi.
RC : Vous avez des qualités qui se répondent et vous n’avez pas de problème d’égo, ce qui aide pas mal le projet aussi.
Ma phrase préférée cette année, c’est quand ton fils est venu te voir pendant que tu te faisais maquiller et qu’il a dit « tiens tes faux-cils papa », et on le verra dans 20 à la place de Marc Olivier Fogiel.
AL : Mais ils sont plutôt marrant les gamins avec ce programme, ils trouvent ca plutôt rigolo. Mon fils ca le fait rigoler, je crois qu’il comprend pas les propos tout ca, mais il y a quelque chose de clownesque (référence aux marionnettes).
RC : Moi ma nièce elle veut être vous plus tard et parler avec une copine à la télé. Ca ou vétérinaire, ce qui est pareil. Mais vétérinaire que pour les vaches. Elle m’a dit « parce que les autres j’aime pas !» .
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10 commentaire(s)
OMG !
Bien sûr la curiosité de voir à un moment cette transformation m’a tenue en haleine, mais finalement, on se prend à imaginer, en voyant les gestes de la maquilleuse. Et avec sa voix (la sienne, la vraie (double parenthèse mais mon dieu quelle belle voix mamma mia!)) il est tellement présent que peut importe finalement qui l’on voit entre lui et Liliane.
C’est comme une magie 🙂
Et l’interview est HYPER intéressante ! Je vais la relire tiens.
Merci Mai encore une fois pour tous ces partages, ces découvertes hyper variées, c’est passionnant !
hyper intéressant ce rapport à soi et à la beauté… On est un peu frustré de ne pas les voir en train de se maquiller mais j’imagine que c’est pour qu’on continue à ne voir qu’elles lorsqu’ils apparaissent à l’écran. Je les aime tellement! des bisous Mai, merci pour ce post <3
C’est sympa de nous avoir donné tout l’interview en plus de la video….J’ai du mal avec le petit Journal mais « elles » je les trouve absolument irrésistibles!!Et j’aime qu’elles soient belles,c’est beaucoup plus fort que si on avait des caricatures de femmes…
Bravo à eux…
Bisous
merci pour vos com. bisous!
Au top cette vidéo ! Je suis tellement FAN de Catherine et Liliane !!
Bises
Coline
http://bienvenuechezcoline.com
Hello Mai,
super intéressant de voir comment ça se passe de l’autre côté de la camera, je n’aurais pas imaginé toute cette attention sur les détails du maquillage.
Et je me demandais…Quelle est cette super appli qu’Alex utilise pour dessiner sur son Samsung? Ca existe sur Iphone ?
Merci bisous
Je les adore ! Je les aime !!!! De vraies copines !!!! On les appelle avec mon marie Cathy et Lili. lol. Est-ce que vous avez remarqué les mega boucles d’oreilles de Catherine et ses bracelets? Nan mais surtout les boucles d’oreilles : les créoles peuvent se rhabiller !
J’adore Catherine et Liliane, merci pour cette vidéo !!! 🙂
j’aime trop cette référence aux nanas des années 80, aux épaulettes, aux soap américains et au maquillage « over too much »
C’est très intéressant (et je suis une fan d’Alex Lutz !!) 🙂