La chiale

Part 1

Salut les choux,

Ça fait quelque temps que ce post me travaille sans vraiment trouver sa voie. Ses mots. Et puis, la semaine dernière j’ai pleuré sa mère. Donc sans savoir exactement à quoi ça va ressembler, je me lance. on verra bien.

Ça m’a prise par surprise et j’ai besoin d’analyser le truc. Avec vous.
Pour être tout à fait honnête, j’étais très « sûre » de la vidéo de Mr Ramires. Chose rarissime, je l’ai montée tout de suite après avoir filmé. J’ai adoré le faire. Je ressentais du plaisir, une forme de justesse. D’évidence. Ça arrive parfois. Pour autant, je ne m’attendais pas à recevoir tous vos commentaires. Toutes vos réactions. Ca se résume à beaucoup, beaucoup d’amour. Tant d’amour.

Alors je me suis demandée, pourquoi l’amour ferait-il pleurer? Pourquoi ça me fait pleurer? La réponse est dans la question n’est ce pas? il me semble que beaucoup d’entre vous voient de la bienveillance chez moi. un regard semblerait il. pourquoi ai je ce regard qui fait pleurer? voilà ce que j’ai trouvé comme début de réponse.
alors voilà, il me semble que j’ai développé ça justement parce que moi, je n’ai pas été… regardée comme ça. Il me semble que je n’ai pas été aimée, écoutée comme ça. du moins, et c’est important de le préciser, je ne l’ai pas ressenti.
Peut être, évidemment, est-ce ce que je que je cherche finalement. Ici. Dans ma vie. je vais plus loin; peut-être, évidemment, est-ce ce que vous cherchez vous finalement. ici. dans votre vie.
C’est très important ce que je réalise là. me concernant en tout cas.

En même temps, c’est un peu simpliste, parce que vos commentaires, ils étaient beaux, pas parce qu’ils parlaient de moi. mais parce qu’ils parlaient de l’Autre, parce qu’ils parlaient des enfants, d’un bel inconnu, Mr Ramires. de tout ce qui peut voyager, dans leurs regards justement. ça me fout en l’air de développer ça chez vous. de développer ces émotions. ça me dépasse. et je suis tellement heureuse. vous pouvez pas savoir.

Alors, pourquoi les émotions, même heureuses, font elles pleurer? pourquoi on rit pas? tout simplement. est ce forcément un chagrin? un chagrin qui aurait trouvé le moyen de s’exprimer? grâce à un peu de beauté justement? c’est peut être est-ce ça une émotion, un chagrin qui devient beau?

ou tout simplement… pleurer serait la concrétisation physique de ce débordement merveilleux qu’est l’émotion. je ne sais pas. dîtes moi. pourquoi pleure-t-on quand on est ému?

bon sinon, la vérité c’est que ça fait un an et demi que je chiale très régulièrement… HAHAHAH! la suite plus tard.

Il y a 11 ans / Bouche 61 commentaire(s)

61 commentaire(s)

  • ça me touche beaucoup ce que tu écris…elle est parlante cette expression « pleurer sa mère ».
    Ce qui m’a rendue un temps très heureuse c’est la reconnaissance : heureuse et triste car cela faisait résonner un manque, comme toi une impression de ne pas avoir été aimée.
    C’est doux-amer.

  • je suis incapable de répondre à ta question, je crois que chacun à sa réponse au fond de lui, parce que ça se relie à notre histoire perso ?

    mais c’est rigolo car l’autre jour je te disais justement que tu etais une belle personne, une fille Lumineuse (ouaip, avec un grand L), et que ça fait quelque temps que des personnes autour de moi me disent la même chose (que je serai une belle personne) et tout comme toi, ça me bouleverse à un poiiiiint !!!

    et les conclusions de ma propre reflexion ont été un peu les mêmes que toi, à savoir que je me donne à fond, tant pis s’il n’y a pas forcément de retour, mais en vérité, s’il y en a un ça me fait un bien fou car je n’ai jamais trop entendu de jolies choses sur moi quand j’etais petite (quoi qu’il est tout a fait possible que je ne les ai pas entendu, en réalité) …

    après, je ne sais pas, mais je trouve que ce sont des larmes « agréables », non 🙂 ?? je veux dire, l’émotion est belle, elle est sincère ♥ … peut-être qu’il faut quelques cargaisons de larmes pour arriver à gérer tout cet amour reçu avec un peu moins de « mouchoirs » 🙂 quoi que je suis prête à parier qu’on ne s’y habitue pas vraiment …

    (euh, désolée d’avoir fait du « moi je », ahem)

  • Ahah la grande question ! Les pleurs de douleurs ou de tristesse sont antalgiques chez nous autres les humains. Les pleurs d’émotions autres que celles-ci seraient potentiellement dû au « je n’ai pas de mot pour exprimer ce que je ressens ».
    Moi je suis une pleureuse, une vraie. Je crois qu’il y a un truc qui se joue dans les hormones mais pas que. Je pleure tout le temps, pour des choses graves évidemment et le plus souvent pour des choses quotidiennes. J’ai parfois l’impression de boire les émotions des autres ! Ça me rend très forte je trouve parce que je ressens plein de choses ! Le revers de la médaille c’est qu’il faut beaucoup de temps à mon chéri pour me dire les choses pas cool, la 1 ère fois je pleure puis on peut en discuter plus calmement…
    Je crois vraiment au pouvoir calmant et rassurant de l’expression des émotions au travers des larmes. Et c’est vrai que je pleure pas mal par chez toi 🙂
    Je te trouve très bienveillante et résolument positive, tu as le don de me faire sourire et de me faire voir le monde encore plus rose ! C’est pour ça que je viens te lire à chaque nouvel article : tu mets de la couleur dans mon coeur 🙂 Un grand MERCI presque plein de larmes 😉

  • Parce que voir les choses à travers les larmes, ça rend la vie étincelante comme du cristal… Je crois sincèrement que pour être heureux et apprécier la vie, il faut avoir pleuré à un moment. Comme on dit, « on ne voit bien qu’avec des yeux qui ont pleuré »… Voilà, tu as dû pleurer pour avoir ce si joli regard sur les choses. Et ce n’est pas si grave, à la fin…
    Très bonne journée, avec un big smille!

  • Tu pleures parce que tu as cette sensibilité, ce regard qui te permet de voir toute la beauté des choses.. ça te renvoie à ta propre histoire, à ce qui t’a manqué, à ce qui te touche et ce qui te donne le goût de vivre aujourd’hui.
    Alors c’est beau Timai.
    Je suis un peu comme toi, je vois les choses, j’ai l’impression d’avoir une sensibilité que d’autres n’ont pas, de ressentir ce que certains ressentent quand personne ne les voit. Et rien ne me touche plus que l’innocence des enfants, la bonté, l’humanité. Des choses simples.
    Je n’ai jamais pu écouter les enregistrements que mes parents ont fait de moi bébé. Aujourd’hui je sais très bien pourquoi, ca touche à mon histoire personnelle. C’est douloureux mais c’est beau et je suis heureuse d’être ainsi.
    Alors continue de t’émerveiller et de pleurer. Tu es vivante.
    Et tu le partages.
    Merci Timai.

  • Désolée, moi elle m’a pas fait chialer cette dernière vidéo.
    Elle m’a « juste » hérissée le poil et pouliffiée la chair.
    Merci Mai pour ton talent et ton regard bienveillant (qui, faut bien le dire, me fait des fois verser quelques larmes aussi).

  • good morning 🙂 alors en fait là, je suis en retard et je ferais mieux de partir au taf mais je voulais prendre le temps d’écrire qqch…

    c’est bizarre quand tu dis que tu pleures régulièrement depuis un an et demi, parce que c’est un peu pareil chez moi: une rupture, un grand changement et pof, ça a ouvert les vannes, j’ai toujours été émotive mais avec le temps, je laisse de plus en plus les émotions sortir – quelles qu’elles soient d’ailleurs.

    pendant des années, je n’ai pas pleuré ou très peu, j’étais dans la retenue, la contenance, je ne voulais pas que ça se voit, même (surtout) si c’était fort. Enfant, ado, je n’ai pas versé beaucoup de larmes… et surtout pas devant les autres. Et puis à 20 ans, je suis partie loin. Et ça m’a libérée à tous les points de vue – et j’ai commencé à pleurer. ça a l’air bête dit comme ça, mais c’était aussi une façon de devenir un peu plus moi.

    et 12 ans plus tard, je pleure toujours et depuis quelques mois donc peut-être un peu plus souvent. C’est une phase pas facile et en attendant qu’elle passe, je laisse sortir ce qui est là, et ça fait du bien. C’est une forme d’acceptance je crois. Oui, je suis triste, émue, en colère, déçue… je l’accepte et je n’ai pas peur de le montrer, de me montrer. C’est peut-être grandir un peu aussi, d’accepter ses émotions.

    je t’embrasse fort Mai!

  • C’est une tres bonne question. L’amour fait pleurer finalement, toujours, tant par sa beauté que par son absence, sa fin.
    Moi quand je suis en periode disons… sensible sur le plan féminin, et ben je pleure, je pleure en vidant tout le négatif du mois (ou du « Moi », je suis en psycho il faut m’excuser!), et je pleure aussi en voyant l’amour de mon homme. C’est comme si ca prenait de l’ampleur à ce moment là.
    Mais comme tu le dis, tu montres les autres, tu les sublimes, d’une façon qui t’as un peu manqué. Je comprend tres bien ce que tu dis, je me suis rendue compte que j’aurai aimé avoir des parents qui gonflent un peu leurs amis en étant fiers de leur fille, qui l’a mettent en avant dans ce sens là.
    Montrer ce qu’on a pas eu, avoir un retour d’amour de la part de ceux qui regardent, eh ben moi je trouve que ca suffit à justifier des larmes 😉
    Continuons à pleurer ensemble, s’il te plait <3

  • Alors mon analyse pour la « chiale » est tout à fait primaire mais me convient tout à fait: on pleure pour déverser…quand on est trop plein!
    Comme un contenant gradué d’émotions, de niveaux différents et propre à chacun (très personnel puisqu’il y en a qui déchargent beaucoup en pleurant d’autres autrement…)
    Heureusement cela peut être de joie, d’amour…mais aussi, d’énervement, de peine…de pleurs silencieux et recueillis, des pleurs avec serrage de dents, des pleurs avec sourire..
    bref, bizarrement je pleure assez facilement devant un écran, mais dans la vie…ben pas trop…et pourtant pas de souci avec ça ou montrer mes émotions….va savoir, va comprendre!

  • C’est un trop plein d’émotion. Tu l’exprime par les pleurs en ce moment dans ta vie mais peut être qu’à un autre moment tu rigoleras ou balbutieras ou tu auras des dzadzazous partout dans le corp!
    Ce qui est sûr c’est que l’émotion est trop
    Forte. Mais ce n’est rien de mal. Pour ma part j’ai eu, il
    Y a quelques années, cette période. Maintenant je pleure moins, mon émotion s’exprime par une sorte de douceur qui me transporte, un truc physique que je ne peux pas vraiment décrire. Peut être comme des portes intérieures qui s’ouvrent et fond respirer mon corp de belles couleurs et belles sensations. Et je devant devant tes textes et tes vidéos c’est ce que ça me fait. Une sensation de bonheur, de beauté, de tranquillité, d’endorphine m’envaillie!! Juste par tes textes, les personnes qui sourient à la vie dans tes vidéos, les couleurs, la musique… Je trouve ça tellement bon de pouvoir avoir autant de belles sensations rien qu’à travers un petit écran.
    Et oui c’est grâce à toi Mai. Tu es pleine de belles choses et tu le partage, parque tu as saisie que ce partage émane du bonheur, de l’amour. C’est l’amour!! Tu nous reconnecte avec l’amour et c’est bon!
    Merciiiiii milles fois

  • Bon j’avais pas vu la vidéo mais j’ai pleuré en te lisant et je suis allée voir la vidéo, dans cette vidéo j’ai vu de la joie, de la beauté, de l’espoir mais aussi cette fragilité qui nous renvoie à notre propre fragilité, à ce regard bienveillant qu’on aimerait tant se voir poser vers nous et cette douce main qui nous pousserai en avant pour nous faire grandir et pour ça y a pas d’âge
    les pleurs c’est de l’eau pour l’âme et le coeur, c’est une décharge émotionnelle
    pour moi c’est un cadeau de faire pleurer, quand les larmes coulent, le cœur s’ouvre un peu plus et laisse un peu plus de place à l’amour vrai, pur, bienveillant, celui donne, qui porte, qui ouvre, qui donne des ailes.
    Je n’ai rien lu des commentaires, j’avais envie de garder l’émotion intacte.
    C’est chouette de lire que tu pleures, tu ouvres les vannes, tu grandis ton cœur et tu nous fais grandir à ta manière.
    Merci du cadeau.

  • On ne devrait pas cantonner les larmes à une certaine forme de chagrin. C’est beau les larmes. C’est beau parce que sincère et juste. Ce n’est pas réfléchit. Ça peut venir comme ça, juste parce qu’on est bien.
    Tu m’as fait pleurer parfois et c’est doux de lire que nous te faisons pleurer également. Une échange de larmes heureuses.

  • Chère Mai,
    oui, c’est très beau et très vrai ce que tu dis. Je suis très sensible à tes vidéos aussi pour cette raison, parce qu’elles montrent les gens vus avec bienveillance et ça fait rejaillir toute leur beauté, leur grâce, et plein d’amour, sans aucune exception et finalement quel que soit leur apparence « de départ ». Née après un traumatisme irréparable (c’est ainsi…), ça m’a terriblement manqué moi aussi de ne pas être regardée comme ça, parce que mes parents ne pouvaient pas faire autrement qu’avoir la tête ailleurs -et aujourd’hui je les comprends. Contrairement à toi cependant, ma réaction a été de me racornir, de perdre confiance, de devenir amère, de me complaire dans l’idée que j’étais une victime et que c’était foutu pour moi. Heureusement aujourd’hui j’ai entamé un travail de déconstruction de cette amertume, mais c’est long. Puisqu’on est tous et toutes déjà en train de chialer, allons-y franco : ce que je viens aussi puiser dans ton blog c’est la direction que je veux donner à ma vie maintenant. C’est ce regard là, ton regard, sa lumière que je veux moi aussi porter sur les autres et sur moi-même.
    Les larmes pour moi c’est une purification, c’est la sensation qu’on avait une ancre dans le ventre ou sur le coeur, et qu’elle bouge tout doucement, peut-être qu’elle se lève pour de bon. Et ce mouvement de l’ancre vers le haut (ou parfois, aussi, vers le bas) pour moi c’est ça les larmes.
    Merci, merci de tout ce que tu fais pour nous Mai.

  • Pourquoi pleurer alors que nous sommes joie ? Pourquoi verser des larmes quand nous sommes heureux? Reconnaissant?

    Et si c’était simplement, le paroxysme de l’altérité. Avoir tellement conscience de l’autre que même heureux, on pleure la chance que les autres n’ont pas. Ce n’est pas un chagrin ou une peine, mais une certaine reconnaissance.

    Le fait que soudain tout soit écrasant, déborde de partout, nous épuise, nous fatigue, nous crève. C’est peut être qu’à un instant T, dans nos vies, tout va bien et on ne sait plus ce qu’on a, on en profites moins et alors, vlam grosse claque on pend tout dans le visage parce que soudain, à nouveau, on a conscience de ce qu’on a et ce que les autres n’ont pas toujours. Et alors, on pleure, parce que parfois on oublie que c’est une chance.

    Je ne sais pas si c’est bien claire, mais il me semble que pleurer c’est la transcription des émotions quand elles nous submergent et que la raison ou l’habitude n’a plus sa place. Pleurer « sans savoir pourquoi », c’est notre corps qui nous rappelle à un état où tout savoir et tout comprendre n’existe plus.

    Bonne journée

  • les hormones ces hyènes, cherche pas….
    plus sérieusement, c’est un très beau post, qui comme la vidéo qui l’a précédé touche à l’universel, dans lequel on se retrouve tous alors que tu nous embarques sur des chemins de traverse qu’on n’aurait jamais penser prendre. Il est là pour moi ton talent, c’est que tu m’emmênes avec beaucoup d’intelligence (que tu tentes parfois vainement de cacher derrière ce que tu voudrais nous faire passer pour de la futilité ou des machins girly), d’humour (la seule respiration possible non ?) et de beauté (parce que tu as ce don magique de nous la révéler). Alors voilà pourquoi tu pleures. Parce que tu as su combiner tout ça et que parfois c’est tellement émouvant qu’on pleure avec toi.
    Belle journée,
    BouDu !

  • c’est fou comment ton texte, spontané, d’apparence pas construit contient des pépites de justesses.
    Tes mots me parlent, je n’avais jamais réfléchi à d’où venait cette émotion et je trouve que tu as vraiment mis le doigt dessus : « un chagrin qui aurait trouvé le moyen de s’exprimer ».
    Je le ressens aussi comme ça, je dirais que c’est un chagrin, une blessure qui a trouvé l’espace pour être accueilli, reconnu, compris. Et c’est cette acceptation qui nous donne cette bouffée de reconnaissance, de gratitude, de paix avec nous-même.
    C’est notre blessure qui est accueillie dans un joli petit cocon ouaté, dans un moment de joie, de partage, dans un éclat de rire.
    Cette petite bulle de bonheur, c’est l’émotion…. j’en suis moi-même toute émue de réaliser ça.
    Merci de partager avec nous ces sentiments intimes qui nous font joliment avancer dans notre connaissance de nous !

  • C’est fou de lire que vous pleurez toutes, j’ai l’impression de n’être entourée (cercle amical ou pro) que par des personnes qui pleurent très peu et me regardent bizarrement voire sévèrement quand mes larmes coulent lorsque j’ai des émotions fortes ou des douleurs. Ou êtes-vous chères âmes sensibles comme moi !.. Sur le blog de Mai 🙂

  • « Une émotion c’est un chagrin qui devient beau ». En tournant ta phrase en une affirmation, je crois qu’on a peut être trouvé une infime partie de solution.

    On sait exprimer les colères, on sait exprimer les chagrins ( enfin pour la plupart d’entre nous), mais je crois que les choses belles qui nous font du bien on ne sait pas trop les exprimer. Parfois les mots ne sont pas assez forts. Alors ça sort par les yeux.
    Pour ma part, quand je vois quelqu’un pleurer (ou que je pleure moi même), j’ai l’impression que cette personne a tellement de chose en elle que ça sort, sans contrôle…. par ses yeux ! que ce soit heureux ou malheureux, ça sort par les yeux, parce qu’à l’intérieur, il y a une tempête. Une tempête d’émotions.

    Tu sais très bien créer chez les gens ces tempêtes !

  • « …pleurer serait la concrétisation physique de ce débordement merveilleux qu’est l’émotion. »

    J’ai l’impression que c’est ça pour moi ^^ Le sourire, les yeux qui brillent… Je ne pleurais pas. Ou plutôt, je ne pleurais plus… Jamais ! Et puis doucement j’ai réappris. Car il ne faut pas avoir honte. Et encore moins quand on pleure de bonheur ! Merciiiiiiiiiiii pour tout ! Quel bonheur d’avoir un jour cliqué par ici grâce à une Chic Fille 😉

  • « Alors, pourquoi les émotions, même heureuses, font elles pleurer? » parceque comme après la pluie, après les larmes, les couleurs sont chatoyantes. Le noir devient intense et les couleurs si lumineuses. Ceux qui pleurent quand ils ont une émotion doivent être ceux qui aiment les couleurs 🙂
    je t’ai écris plus longuement en off (inbox FB).
    je me régale à lire les réponses de tes lecteurs. People are good here!

  • Pour moi, les larmes sont des mots que l’on ne peut pas dire…
    J’ai bien aimé ce chagrin qui devient beau…
    Bisous bisous excellente journée !

  • Les larmes de bonheur.. lorsque ça m’arrive, je dirais que je le dois à une forme de plenitude, de débordement d’émotions, de tendresse. Je constate également que lorsque les individus savent se regrouper pour former quelque chose de beau, ça me transporte et me touche énormément (certaines flash mob par exemple). Alors évidement, tes merveilleuses vidéos, ne peuvent que faire briller mes yeux 🙂

  • C’est vrai que ce bonheur gratuit que tu nous offres dans tes vidéos, c ‘est un truc de ouf, tu touches en nous l universel et pour reprendre le commentaire de Cynthia, y’a pas de mot pour cela!

    Merci et belle semaine <3

  • Maï, je relis mon commentaire et je me rends compte que ma première phrase (« ton texte en apparence pas construit ») peut être interprété comme une horrible critique alors qu’en fait ce que j’ai voulu dire c’est qu’en te lisant je me disait « Mais où veut-elle en venir ? » jusqu’à ce que j’arrive à ces dernières phrases qui sont d’une limpidité et d’une justesse incroyable !
    Voilà, je tenais à rectifier 😉
    Belle journée à toutes !

  • « Quelques-uns d’entre vous disent, « La joie est plus grande que la tristesse », et d’autres disent, « Non, c’est la tristesse qui est la plus grande ». Mais je vous dis, elles sont inséparables. Elles viennent ensemble, et quand l’une est assise seule avec vous à votre table, n’oubliez pas que l’autre est endormie sur votre lit. »

    « Votre joie et votre tristesse sans masque, et ce même puits d’où monte votre rire a souvent été rempli de vos larmes.
    Et comment en serait-il autrement ?
    Plus la tristesse creusera profond dans votre être, plus vous pourrez contenir de joie. »

    Ces deux citations sont de Khalil Gibran, elles collent à ton texte et à ta pensée. Je trouve.

  • Mai,
    Tu es une personne incroyable, je suis si heureuse d’être un jour tombé sur ton blog que depuis je ne le quitte plus! Tu racontes les choses avec une telle finesse, que ce soit dans tes textes, dans tes vidéos, dans tes images.. C’est vrai qu’il s’en dégage de la bienveillance, parce que tu essayes toujours de trouver le beau dans tout ce que tu rencontres. On a la sensation que tu ne vois pas de différences mais simplement de l’altérité: je ne sais pas si tu vois la nuance, je dirais que l’altérité est beaucoup plus positive, il y a moins cette idée de rupture. Je trouve ça très apaisant et très enrichissant. Pour ce qui est des émotions, ma foi, que tu les exprimes en pleurant, en écrivant, en chantant, en filmant, .. ce n’est qu’une manifestation de tout ce que l’on ressent parmi d’autres, non?
    Ton blog est un recueil d’émotions!
    Merci :’)

  • J’ai récemment suivi une formation et on a longuement parlé des émotions. Je ne vais pas m’étaler sur la totalité du discours mais il en est ressortit que chacun exprime son émotion (positive ou négative) comme il peut, soit par les pleurs, les rires, etc. Le tout est de reconnaître cette sensation et de l’assumer et tout naturellement de la laisser sortir. Je me suis rendue compte qu’on était en fait assez pudique face à ça et qu’on a une certaine gêne à pleurer, ce qui fait qu’on ne comprend encore moins pourquoi pleurer alors que ce qui ce passe devant nous est beau ou joyeux mais je crois qu’il faut juste laisser sortir cette émotion et la vivre parce que selon moi elle régénère. Pleurer de joie c’est tellement bon non ?? Ce soupir et cet épuisement juste après est juste tellement jouissif qu’on aurait envie d’y retourner ! c’est une sensibilité un peu plus présente par rapport aux images autour de nous.
    Pour ma part j’ai pas mal de chose qui me font pleurer… une voix dans une chanson, une finale de sport ou le vainqueur s’effondre de joie, de douleur, d’épuisement ; la beauté d’une scène.
    En parlant de beauté et de chiale j’ai regardé hier ce documentaire qui est juste magnifique et bourré d’émotions !
    http://twentyfeetfromstardom.com/
    Ca raconte l’époque des choristes de star (steevie wonder, rolling stones, luther vandros, etc) et la difficulté à vivre dans l’ombre.
    C’est génial !!

    kiss kiss

  • Assez intéressant de lire ton texte et les commentaires qui suivent.
    Enfant je ne pleurais pas.
    Jusqu’il y a 7, 8 ans je ne pleurais quasiment pas, je crois qu’il y’a des des instants de fragilité (tu parles d’une année et demie en ce qui te concerne), ça peut être une rupture par exemple et pas forcément des drames.
    En ce qui me concerne, je crois que ça a été une rupture, quelque chose d’assez commun, que j’avais pourtant initié mais dont j’avais mésestimé les conséquences.
    (Je raconte ma vie mais je vais sortir de mon petit nombril, promis).
    Il y a des souffrances communes, presque « normales » que tout le monde vit, et qui pourtant, on ne le dit pas assez peuvent nous sensibiliser.
    Ca a clairement à voir avec la vie, son sentiment d’être en vie.
    Je suis finalement devenue une « hyper sensible ». Ce qui est profondément relou, vu qu’avoir le alarmes aux yeux pour un oui ou pour un non est très éloignée de l’image digne que j’aie des gens qui se tiennent.
    Mais, heureusement, ça présente quelques avantages. Celui d’être ému au quotidien, face aux choses que certains qualifient, à tort, de « petites choses ».
    Je crois que chialer c’est bien, j’avais vu une conférence sur les larmes au cinéma où la prof expliquait que ce regard un peu « réprobateur » face aux larmes était un état nouveau. Avant il y’avait comme une science des larmes, chez les hommes comme chez les femmes.
    Je crois que ça permet de ventiler le coeur…
    Enfin bref, je crois pas être tant ça sortie de mon nombril.
    T’embrasse

  • J’ai longtemps pleuré d’un chagrin sombre, sans source ni fin.
    Mais bizarrement, depuis que je vais mieux, je pleure la beauté et l’émotion, pas que le chagrin.

    Je pleure des mots, doux, intenses, violents.
    Je pleure des images, douces, intenses, violentes.

    Peut-être que c’est ça : on pleure parce qu’on regarde, on écoute. On pleure parce qu’on vit.
    Une hypnothérapeute m’a dit que si je pleurais beaucoup, c’est parce que mon cerveau cherchait n’importe quel prétexte pour évacuer. J’aime me laisser croire qu’il n’a rien à voir là-dedans.
    Que je pleure la beauté parce qu’il y a des cœurs, des mots.

  • Une maman m’a dir un jour a propos de son bebe « je l’aime tellement que ça me fait mal ». J’ai toujours ete impressionnee par cette facon de parler et par cette force que genere l’amour. Comme si l’amour c’etait jeté sur toi et BIM. C’est un peu ca en fait, toutes ces facettes de l’amour, qu’il soit maternel fratenel ou charnel, il te prend et il te bouffe. Mais moi je veux etre bouffé jusqu’a l’os!

    L’important n’est peut etre pas de se demander pourquoi si ou ca, mais de savoir comment on fait pour que l’amour nous frappe encore et encore..

    PS: Mai, tu dechires ça race.

  • J’aime me dire que les pleurs représentent la passerelle entre ce qui se traduit en mots et ce qui n’est plus exprimable. La langue est souvent impuissante quand il s’agit de transmettre des émotions très fortes et dans ce cas, le corps prend encore un peu plus le relai, tout simplement. Du coup, pleurer, c’est laisser gueuler son corps, c’est transmettre quelque chose et puis surtout, faire pleinement l’expérience de l’émotion qui nous envahit. Enfin, je crois!

  • Mais les pleures pour moi c’est…sain. Il vaut mieux pleurer que de garder le tout non ? (enfin c’est ce que j’apprends à mes fils…j’ai bien dit mes fils donc si un jour tu vois deux mecs de 20 et 24 ans chialer se sont les miens…ahaha)

    Bon après pour moi c’est une autre histoire…Je me dis souvent ces derniers temps que par rapport à avant, j’ai la larme facile. Suis hyper émotive, moi qui était hyper costaud. Ca m’a joué des tours parce qu’autour de moi on croyait que j’étais forte…et pourtant…

    Mais en fait je me dis que les pleures c’est salvateur parfois, ça dépend des moments, du lieu, de ce que l »on voit…

    Tes vidéos sur Tel Aviv et celles de Fred, m’ont fait pleurer…parce qu »elles étaient belles mais aussi parce que je suis loin de chez moi et que parfois ça me manque…parce que c’est fort fort fort.
    La vidéo de Mr Ramireeees m’a fait pleurer parce que la beauté des enfants c’est ce qu’il y a de plus beaux pour moi. C’est l’innocence, la fragilité et que parfois la vie est bien trop dure pour eux (ok je bosse dans le social et il y a un lien…).
    Alors quand je vois qu’ils se donnent à fond, qu’il existe des personnes comme Mr Ramireeeeeees qui croit en eux, là je ne peux que verser ma larme.

    Tu vois c’est que de l’émotion en fait. Et puis transmettre « le beau, le vrai » purée c’est pas donné à tout le monde.

    Ceci dit…mon homme ne sera pas sensible à ce que tu montres, il le sera sur autre chose. Bref ! tout dépend aussi de la personne, de ce que l’on vit ou que l’on a vécu.

    Et puis il y a les pleures de joies…Pour la petite histoire…je me souviens que ma mère elle pleurait à chaque fois que je passais en classe supérieure parce qu’elle était tellement contente (tu me diras je n’en fichais pas une…ou le moins possible, même si j’en étais capable…c’est bien ça le pire…ahaha)…En fait je crois (en t’écrivant) que c’était des larmes de…soulagement…ahahaha.

    Mais moi perso ton émotion, ce que tu transmets ça me va…;-) J’ai trouvé ma dose d’émotion à travers tes vidéos
    un grand merci

  • Punaise ce que j’ai eu peur en lisant cette première phrase. Je ne m’attendais pas du tout à cette suite, en lisant le dernier billet chez make my lemonade et le questionnement qui semble occupé l’esprit de quelques blogueuses que j’adore suivre, j’ai eu peur que ce soit un post d’adieu.
    Ravie et soulagée de voir que ce n’est pas du tout le cas !
    Ces questions sont très intéressantes, je suis définitivement à caser dans la catégories des émotifs.
    J’ai une grosse tendance à m’émouvoir de tout, tout le temps, du beau, du triste, d’une musique, surtout d’une musique d’ailleurs.
    Et j’ai souvent des larmes qui coulent sur mes joues pour venir mourir sur un grand sourire.
    Ce que je remarque c’est que plus je vieillis, plus je me sens bien et en accord avec moi même, plus je m’émeus aux larmes de petites choses, et plus je suis sensible à la beauté.
    Pourtant je me sens des milliers de fois plus forte qu’avant, c’est peut être une nouvelle répartition des émotions.
    Dans tout les cas, ce que tu fais ici, sur cette plateforme, c’est du bonheur en barre, un concentré d’énergie positive, tu ouvres des fenêtres sur la beauté du monde, des gens, des petits riens et des grandes choses. Et pour ça un grand merci, aussi anonyme soit il, planquée derrière mon clavier. Merci, merci, merci.

  • J’ai commencé à lire quelques commentaires et vitevite je me suis empressée de descendre tout en bas de la page. Pour écrire ce que tout cela fait jaillir en moi. Avant de lire ce que ressentent les autres. Une réponse à chaud. Bouillante !

    Avant toute chose, il faut savoir que j’estime énormément les larmes. Quelles qu’elles soient : rouge de colère, orange de bonheur, bleu de mélancolie, noir de déchirement … Toutes. Je les aime profondément.

    Moi j’ai beaucoup pleuré pendant un temps. Au début je le voyais comme quelque chose d’ambigu. Péjoratif selon le dictat sociétal – parce que pleurer c’est être une mauviette nianiania. Mais moi je ressentais quelque chose de bon après avoir pleurer. Mes larmes, je les aimais. Même si les raisons de mes pleurs, eux, je ne les appréciais pas.

    Les larmes, ces minuscules gouttes d’eau qui sortant de nos yeux forment un flot qui nous paraît si grand parce qu’obstruant nos pupilles sont pour moi des scintillements uniques. Scintillements parce que brillantes (le sens propre donc). Mais aussi scintillements parce qu’étincelles !
    Les larmes nous « montent » (le mot monter est lui même si parlant !), une émotion nous « pique », nous font sursauter de bonheur ou au contraire d’accablement. Cette étincelle, cette même étincelle qui allume le feu – le provoque en nous. Une immense chaleur. Brûlante ! Si vive ! Si intense ! Une sorte de paroxysme du sentiment ! Quelque chose de fort, quelque de grand !!
    Quelque chose qui, à chaque fois qu’il nous pique nous dépasse et nous bouscule tant que notre corps ne trouve que pour seul réponse des larmes. Une extériorisation de cette étincelle, de ce pique, de cette apogée exceptionnelle (mais qui pourtant peut se produire de manière très récurrente) …
    Moi je trouve ça beau les larmes.
    Beau parce qu’elles font toujours du bien. Et que leur scintillement ramène de la lumière dans notre peine, ou au contraire fait encore plus exploser une joie intense, un amour fou, un bonheur sensationnel !

  • Coucou Mai,belle question que tu poses,que tu nous pose…Ce que je ressens quand je parcours ton blog,c’est ce sentiment fort d’un dialogue d’humain à humain,dans ce qu’il a de plus essentiel:sa beauté et l’amour qui l’anime.Et parler de cela,et le donner à vivre,à ressentir,c’est nous lier tous par la main dans ce que l’humanite a de plus beau.C’est larmes,c’est l’âme qui parle…

  • Je ne vais pas écrire un roman parce que je suis fatiguée (d’ailleurs, pourquoi pleurs-t’on quand nous sommes fatigués ?!) Mais n’ayant pas réagit à la vidéo de Mr Ramires, je vais réagir ici.
    Je pense qu’on pleurs quand on est heureux, enfin dans ce cas précis, parce que tu es touchée. Je pense que l’attention qui t’arrives dessus, l’amour qui pleut sur toi provoque un sentiment très très fort et donc te fais pleurer !

    Mais je pense que c’est bien, comme tu dis, c’est le trop pleins d’amour, trop de joie, ton corp ne sais plus quoi en faire et tu finis par en pleurer !
    Je ne sais pas pourquoi, ça m’émeut presque de t’écrire ça, je suis heureuse pour toi, continue de nous rentre heureuse !

  • pleurer parce qu’on reçoit des compliments? c’est tout simplement parce que tu as beaucoup d’humilité… c’est plutôt une qualité! en tout cas effectivement, le reportage met en valeur la beauté intérieur de ces gens « normaux », alors bravo de moi aussi! bise, Aemi

  • Bon je viens aussi mettre mon grain de sel… J’adore danser mais j’aime encore plus regarder les autres danser. Ca me procure une joie intense. On devine l’effort, le courage, la volonté d’exister, dans ta video je sens tout ça et la lumière y contribue beaucoup. L’émotion est là, pleurer de joie parce qu’il y a de la grace, de la vie, peut être que ca justifie mon envie de me lever le matin. Je reçoit ce trop plein d’émotion comme un cadeau, quelque chose qui m’embellit, qui me conforte dans mes choix de vie.

  • Je pense que si on pleure en recevant de l’amour, c’est peut être parce qu’on voudrait le partager mais qu’on se sais pas comment le restituer. Comme un bonheur qui n’a pas de mot que l’on offre au vent, au monde…

  • Mai, j’ai l’impression de te comprendre…

    c’est marrant ce billet fait écho à un truc qui m’est arrivé ce weekend :
    j’ai moi aussi un blog, un tout petit, et j’ai régulièrement des commentaires, d’une dame que je ne connais pas « en vrai », l’autre fois elle m’a demandé mon adresse, et samedi j’ai reçu dans ma boite aux lettres un petit cahier qu’elle a fabriqué, avec ce qu’elle « voit » de mon blog, c’est à dire, je me suis vue à travers ses yeux, j’ai reçu ça en pleine poire, et j’ai pleuré…

    je crois que le trop plein d’émotions ou de sensations déborde chez moi en pleurs, même si c’est joyeux, quand c’est « trop », ça déborde en larmes, la joie, le plaisir, la douleur aussi, forcément…

    j’ose : je t’embrasse !

  • Aussi loin que je me souvienne, je suis une éponge à émotions et je pleure, je pleure, ça me fait du bien. Alors merci Mai de me faire pleurer, merci de savoir aller à la rencontre de l’Autre (ce que j’ai tant de mal à faire), merci de susciter de si enrichissants commentaires… et laissons affleurer notre chagrin !

  • Les larmes sont associées au chagrin dans notre culture mais au final, elles sont le témoignage d’un débordement intérieur. Les larmes soulagent alors pourquoi les retenir ? Tes postes sont une dose d’énergie, de bonnes ondes dont je me fais une joie de les lire dès qu’ils sont publiés. J’aimerai évoluer avec ta positivité et ta beauté. Tu m’apprends à apprécier mon corps, mon entourage, à regarder la couleur autrement … Douce merveille.

  • On voit tellement d’horreurs partout, tout le temps… c’est touchant de voir quelqu’un parler de beauté et de générosité, quelqu’un qui la partage, comme toi Mai. Parfois on est tellement submergé par la mocheté du quotidien, la bêtise des gens qu’on arrive même plus à voir le magnifique des choses. Alors merci Mai de nous faire partager ces moments là et de nous emmener vers cette voie. Ta façon d’être est belle et réconfortante, tu mérites de recevoir autant que tu donnes, et je te le souhaite de tout coeur. Plein d’amour pour toi.

  • Les larmes c’est mon moyen a moi d’éteindre le feu. Je n’en connais pas (encore) d’autres. Bon je ne suis pas arrivée a ce constat seule. D’ailleurs cette personne m’a aidé à accepter mes larmes. Avant j’avais une peur bleue de la tristesse, maintenant que je sais que je peux pleurer et que ce n’est pas (si) grave et j’ai un peu moins peur. Et ca fait du bien!!! Et après souvent je ris d’avoir tant pleurer.

  • Hello Mai,

    le lien suivant est à prendre avec des pincettes, parce que bon, c’est pas un site scientifique, mais c’ets la première chose à laquelle ton article m’a fait pensé: des larmes, il y en a de plusieurs types, qui expriment différentes choses, c’est un moyen de communication non verbale très fort. Et justement, avec toi, c’est la communication non verbale qui prime (enfin, c’est mon ressentis) et donc ça fait assez sens.
    Je crois que c’est ce qu’on a un peu perdu dans nos société, l’importance du non verbal.. 🙂

    Belle journée à toi

    http://www.lifebuzz.com/tears/#!NFz9K

  • Coucou Mai,

    la chiale… ahaha mais oh combien j’ai été émue aux larmes sur ce blog. Je vois que je ne suis pas la seule 😉 du coup je voulais partager ceci avec toi (vous, tout les gens qui ont pleuré devant tes articles): http://www.rose-lynnfisher.com/tears.html.
    Cette femme à étudié pendant des années les motifs de nos sécrétions lacrymales en fonctions de nos émotions… et c’est beau!

    Merci Mai! Merci pour ce partage de beauté/bonté/fragilité/bonheur (la liste est super longue), merci de nous rendre curieux gourmand beau confiant, merci pour les couleurs. merci pour tout.

  • Je crois que je chiale à pratiquement toutes tes vidéos !
    Car le monde qu’on nous montre dans les médias est toujours moche, violent donc désespérant… Alors que toi, tu nous offres que de vraies et jolies choses, de la bienvaillance, de la douceur ! C’est là qu’on se rend compte que tous les jours on passe à côté du bonheur alors on pleure… Merci

  • Oh Maï! Je t’envoie plein de ‘hugs’ tiens…
    Quand à pleurer… je ne sais pas pourquoi mais moi aussi je pleure tout le temps – devant les films, devant des situations, quand les sujets me touchent. Parfois c’est un peu gênant cette propension à la larme. Mais ce sont surtout des larmes d’émotions – et c’est beau ça, l’émotion. Merci de nous faire profiter de tes émotions et de les éveiller en nous. Des larmes de beauté… que demander de plus?!?

  • Wouah… Après avoir lu ça, je suis partie loin, très loin dans mes pensées, quelle évasion.

    Ma réponse serais que: Les larmes s’expriment là où les mots manquent. Comme si face à l’émotion notre corps nous aidait à communiquer ce que l’on ressent, quand les mots ne sont pas assez fort pour le décrire, où que l’émotion nous à émue.

    De plus il semblerais que les personne plus facilement émotives vive plus longtemps !

    Merci Mai,
    Tu as cet incroyable pouvoir de transmettre la beauté.
    Fais nous pleurer encore !

  • Moi j’ai la « chialite aiguë » aussi !
    Mais une fois une copine psy m’a dit que lorsqu’on pleure, ça veut dire que l’on dit aurevoir à quelque chose… et quand on reflechit bien on arrive à comprendre à quoi on dit aurevoir…
    Bises
    Caroline

  • sans soulever de problématique qui n ‘aurait pas sa place ici, avec les résultats des européennes, la partie II de la chiale s ‘impose un peu de mon coté

  • Pour moi on pleure quand on ressent une sensation forte, tristesse intense, douleur intense, joie intense, colère intense… le point commun c’est la force inhabituelle, qui fait du bien ou pas, les pleurs sont peut être là pour maîtriser cette force soudaine qui s’ exprime en nous, quand on pleur parce qu’on est triste on se sent soulagé , pour la joie on est dans une espèce d euphorie qui s appaise par les pleurs on se sent serein après, la colère pareil, la douleur je ne sais pas si les pleurs l attenue … je dirai sûrement.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *